Monuments des Richard

Monument à l’ancêtre Pierre Richard, Cap-Saint-Ignace (Canada)

Le 20 août de l’an 2000, un monument en hommage à Pierre est dévoilé sur le terrain de la fabrique de Cap-Saint-Ignace, au Québec, à l’occasion d’un rassemblement regroupant plus de 300 participants venus de partout en cette belle journée ensoleillée.

Après la messe, M. Joseph-Édouard Richard, le président de l’Association des familles Richard, dévoila le monument en présence de dignitaires, de descendants de Pierre de Cap-Saint-Ignace, de Pierre de Château-Richer, de Michel et François de l’Acadie, de Guillaume, de Richard/Frey et de leurs conjoints (es) et amis (es).

Le monument fait de granit gris B.B. ferré cinq côtés, installé sur une base de granit stan-dard avec des surfaces brutes et repose sur un socle de ciment. Sa base mesure 24 pouces par 12 pouces, sa hauteur est de 36 pouces à l’arrière et de 24 pouces à l’avant. La façade est identifiée « Richard » et décorée par le blason de l’Association. Sur sa façade supérieure inclinée est fixée une plaque de bronze sur laquelle est inscrite :

Ce splendide et très visible monument en hommage à Pierre en hommage à un ancêtre Richard arrivé en Amérique est sûrement cher au coeur des personnes portant le patronyme Richard au Québec, au Canada et ailleurs.

Monuments et plaques en hommage au Père Gabriel Richard, Détroit (États-Unis)

Vue de l’arbre dédié au Père Gabriel Richard, situé sur le côté est de la station d’autobus de Belle Isle, près de l’édifice à l’entrée du parc Gabriel Richard. Écrit sur la page: « Signe que c’était devant l’arbre au temps de la cérémonie de plantation, daté au Detroit Free Press, le 19 avril 1937. Père Gabriel Richard, 1767-1832. Par Gabriel Richard Council, no. 2463, Chevaliers de Colomb».

GABRIEL RICHARD PARK

Ce bien aimé parc de la Ville de Détroit est situé à l’est du MacArthur Bridge à Belle Isle. Le Detroit River Front Conservancy a amélioré le secteur avec un centre commercial et un pavillon situé sur le bord de la rivière.

Situé au point le plus à l’est de RiverWalk, ce bijou est un beau et paisible hâvre que les beaux aménagements paysagers, une fontaine fantaisiste, jardins de papillons, un labyrinthe contemplatif et des points de pêche.

À l’automne de 2014, le Gabriel Richard Park subit des améliorations importantes, incluant l’installation d’un stationnement environnemental et des sentiers avec une meilleure connexion avec Jefferson Avenue. De plus, un nouvel éclairage a été ajouté pour mieux éclairer le populaire labyrinthe.

Plaque installée devant Jefferson dans le Parc Gabriel Richard à l’est de Jefferson et Sheridan Street au nord-est du pont de Belle Isle.

Le Père Gabriel Richard, prêtre français assigné en 1798 aux français de Detroit, a été une force pour la création de l’Université du Michigan en 1817. Une statue du sculpteur Julius Melchers se trouve sur le campus de l’université Wayne State. (Photo par Ren Farley, Detroit1701)

Cette statue de granit du Père Gabriel Richard a été créée par Leonard D. Jungwirth et subventionné par le Federal Arts Projects du Works Project Administration. Elle représente un robuste et pensif Richard avec son professorat clairement indiqué par les toges traditionnelles de son ordre et tenant une bible dans sa main gauche. Jungwirth enseigna plusieurs années à Michigan State et est le plus reconnu pour sa statue de Spartiate sur le campus d’East Lansing.

Sculpteur: Leonard D. Jungwirth

Date de fin: 1940

Photo: Ren Farley, août 2002

Description daté de juillet 2012

Inscription : FATHER GABRIEL RICHARD 1767-1832 PIONEER PRIEST*PATRIOT*FOUNDER OF THE UNIVERSITY OF MICHIGAN*MEMBER OF CONGRESS* PRINTER*MARTYR OF CHARITY*PRO- PHET AND APOSTLE OF CHRISTIAN CIVILIZATION*HE SERVED GOD AND COUNTRY ON THE MICHIGAN FRONTIER unsigned.

Père Gabriel Richard 1767-1832 prêtre pionnier, Patriote, Fondateur de l’Université du Michigan, Membre du Congrès, Imprimeur, Martyr de charité et apôtre la civilisation chrétienne, il servit Dieu et le pays sur la frontière du Michigan.

TITRE: Father Gabriel Richard

ARTISTE: Leonard D. Jungwirth, 1903-1964

SUPPORT: Granit

DATE: 1937-1940. DÉDIÉ LE 16 OCTOBRE 1940. Relocalisé en 1981

SITUATION PHYSIQUE:

Le long d’East Jefferson Ave. Devant le Gabriel Richard Park (un parc de Détroit). Juste au nord d’East Grand Boulevard, du côté est de Jefferson Ave.

Tombe de Gabriel Richard dans une chapelle à l’église de la Paroisse Ste Anne de Détroit.

Plaque située sur le site de l’Université du Michigan

On y retrouve l’inscription suivante :

Le Catholepistiad, ou université du Michigan demeura dans un édifice près de ce site de 1818 à 1837. Conçu par le Révérand John Montieth. Le Père Gabriel Richard et le juge Augustus Woodqard, l’université fut créée par la loi territoriale du 26 août 1817. Façonné sur l’Université de France, créé par Napoléon Bonaparte en 1807, l’institution fut le centre d’un système national d’éducation de primaire, secondaire et collégial. Le Révérand Montieth, premier président, et le Père Richard tiennent le premier professorat. En 1837 l’université fut relocalisée à Ann Arbour. Le bâtiment original fut détruit en 1858.

Monuments en hommage à Maurice Richard (Canada)

Lorsqu’ils se promènent dans le parc Jacques-Cartier à Gatineau, au Québec, la plupart des Canadiens et Canadiennes ne sont pas surpris de voir la statue en bronze d’un géant du hockey. Après tout, le hockey est le sport national du Canada, qui unit les amateurs d’un océan à l’autre, et Maurice « The Rocket » Richard a été l’un des plus grands hockeyeurs.

Une statue en bronze plus grande que nature de Maurice Richard a été érigée à Gatineau, une œuvre d’Au Coeur du Bronze. Richard, sans casque protecteur, comme c’était le cas à l’époque, déjoue le spectateur, prêt à lancer la rondelle, avec ce regard pénétrant qui lui a valu sa terrifiante réputation de compteur parmi les plus déterminés de tous les temps. Les mots « Ne jamais abandonner » sont inscrits sur le socle de la statue pour nous rappeler la place de Richard dans l’histoire du Canada et le rôle du hockey dans notre psyché nationale. Commission de la capitale nationale

Le monument de Maurice Richard

L’œuvre de Jules Lasalle et Annick Bourgeau, a été dévoilée devant l’Aréna Maurice-Richard le 4 août 1997. Le monument a été modelé dans l’argile. Puis, on l’a transporté dans la ville d’Inverness, la capitale du bronze du Québec, pour y être fondu par l’équipe de la fonderie d’art l’Atelier du Bronze, sous la direction du grand maître fondeur Denis Gagnon. De retour à Montréal, l’Atelier Formaviva, a complété le travail. La statue est composée d’une tonne de bronze, étant déposée sur cinq tonnes de granit de Stanstead. Elle mesure 2,5 mètres de hauteur.

Monument en hommage à René Richard (Canada)

Il est situé sur la rue Saint-Vallier, en bordure du jardin de Saint-Roch.

Ce monument de la ville de Québec rend hommage à René Richard, un des grands peintres de la nature charlevoisienne et du Grand Nord québécois.

Sa réalisation a été rendue possible grâce à la collaboration de :

  • la Ville de Québec
  • la Fondation René-Richard
  • la Daishowa
  • du Groupe Vidéotron
  • la Commission de la capitale nationale du Québec

Naissance:

Né le 1e décembre 1895, à La Chaux-de-Fonds, Suisse

Formation:

Il arrive au Canada avec sa famille en 1909. En 1926, il prend ses premières leçons de peinture et de dessin à Edmonton et en 1927, il part pour la France où il suit des cours de peinture à Paris. Pendant son séjour, il se lie d’amitié avec Clarence Gagnon qui l’encourage à se consacrer entièrement à son art.

Carrière:

René Richard revient au Canada en 1930 et il commence sa vie de trappeur. Il rapporte de ses randonnées des centaines de dessins. En 1942, il s’installe à Baie St-Paul. Il expose régulièrement à Québec et à Montréal. En 1952, il retourne dans le Grand Nord. En 1967, le Musée du Québec présente une exposition individuelle de son oeuvre et dix ans plus tard, une exposition rétrospective. Il illustre Menaud Maître Draveur de Félix-Antoine Savard. En 1980, René Richard fait une importante donation de ses oeuvres à l’Université Laval.

Distinction:

À la fin de sa vie, René Richard est élu à l’Académie royale canadienne et en 1973, il reçoit l’Ordre du Canada.

Monument en hommage à Mgr Joseph-Arsène Richard (Canada)

Hôpital général de Verdun 4000, boulevard LaSalle

Ce monument est érigé en l’honneur de monseigneur Joseph-Arsène Richard, fondateur de l’hôpital. Le nom de Mgr Richard est également donné à l’école secondaire de Verdun ainsi qu’à un parc de la ville.

Sur le monument on peut y lire:

Reconnaissance à Mgr J.-A. Richard

Curé-fondateur

Président de la commission scolaire 1900-1932

Décédé à Verdun le 17 juin 1945

Monuments en hommage à Mgr Marcel-François Richard (Canada)

Statue de Mgr Marcel-François Richard

Le Monument national Notre-Dame de l’Assomption est un lieu historique provincial constitué d’un édifice principal qui abrite une chapelle où reposent les ossements de Mgr Mar-cel-François Richard. Cet édifice comprend également une arche d’entrée, des statues et est entouré d’un terrain. Le Monument national Notre-Dame de l’Assomption se situe sur un vaste terrain à l’Est de l’église Saint-François-de-Sales au centre du village de Rogersville sur la route 126.

Valeur patrimoniale

Ce lieu patrimonial provincial commémore les nombreuses réalisations de Mgr Marcel-François Richard (1847-1915) à titre d’éducateur, de colonisateur et de chef de file de la Renaissance acadienne. Mgr Marcel-François Richard (1847-1915) a participé à l’adoption du jour de la Fête nationale de l’Acadie, le 15 août. Il est à l’origine du choix du drapeau acadien et de l’hymne national de l’Acadie, l’Ave Maris Stella. Le prélat a aussi oeuvré dans le domaine de l’éducation en établissant plusieurs écoles dans les comtés de Kent et Westmorland. En 1912, Mgr Marcel-François Richard a fait construire en ce lieu un premier monument destiné à abriter la statue de la Sainte Vierge qu’il avait reçue des organisateurs du Congrès eucharistique de Montréal (1910). Le monument était dédié à la sainte patronne des Acadiens. Ce monument a été rasé par les flammes en 1969. L’actuel Monument national Notre-Dame de l’Assomption a été construit en 1972 par le père Alban Albert. L’objectif de Mgr Richard était de donner au peuple acadien un lieu de pèlerinage et de rassemblement. C’est toujours un lieu de culte et de souvenir où se tiennent des pèlerinages et des cérémonies religieuses, entre autres, la neuvaine de l’Assomption pour le 15 août. Dans la chapelle du monument, les restes de Mgr Marcel-François Richard reposent dans l’enceinte au-dessous d’une large mosaïque de la Vierge de l’Assomption. L’arche d’entrée du terrain marque le bicentenaire de la Déportation des Acadiens (1755-1955). Source: Secrétariat à la Culture et au Sport du Nouveau-Brunswick, Direction du Patrimoine, Dossier du lieu, # 33

Éléments caractéristiques

Les éléments caractéristiques parmi l’ensemble des structures et le terrain du Monument national Notre-Dame de l’Assomption incluent : – l’arche d’entrée; – le chemin de croix extérieur; – la grotte consacrée à Notre-Dame-de-Lourdes; – la grotte consacrée à Notre-Dame-de-Fatima. L’édifice principal situé au fond du terrain, dédié à la sainte patronne des Acadiens, il compte: – une chapelle où reposent les restes de Mgr Marcel-François Richard dans l’enceinte

au-dessous d’une large mosaïque de la Vierge de l’Assomption; – une statue de la Vierge qui trône à l’intérieur du monument. La statue extérieure, apposée d’une plaque, représente Mgr Richard qui reçoit un calice des mains du Pape Pie X; Le petit musée qui présente des objets ayant appartenu à Mgr Richard.

Plus de 200 personnes se sont déplacées au site du drapeau acadien géant de Saint-Louis-de-Kent pour le dévoilement de la statue en l’honneur de Mgr Marcel-François Richard, le 12 août 2012.

Ils sont rares les personnes qui ont eu un aussi grand impact en Acadie que Mgr Marcel-François Richard. C’est pourquoi Saint-Louis-de-Kent a érigé un monument pour commémorer le fondateur du drapeau, de l’hymne et de la fête de l’Acadie.

Celle-ci comprenait des membres de la famille de Mgr Richard, des dignitaires et d’autres résidants de la région.

Aldéo Richard, le directeur de l’école Marée Montante, est membre du comité fondateur du monument. « C’est clair que les gens reconnaissent tout ce que Marcel-François Richard a fait. Les gens sont fiers de lui, puis ils sont fiers qu’on ait finalement un monument à Saint-Louis.»

En plus de commémorer le grand Acadien, la statue a comme objectif de conserver son histoire pour les générations à venir.

De son vivant, Marcel-François Richard a toujours eu un souci pour l’éducation en Acadie. En plus d’avoir érigé 14 églises entre 1871 et 1914, il était un pionnier dans la construction d’établissements d’apprentissage.

« Monseigneur Richard représente un pilier incontournable dans l’histoire de l’éducation en français de notre peuple acadien. Pour tous ses efforts pour créer des écoles, des collèges, des couvents, il a marqué les débuts de notre essor en tant que peuple acadien.»

«Il a rendu possible ce qui était jusqu’alors considéré comme impossible, c’est-à-dire d’étudier en français.»

«Je ne crois pas que l’Acadie serait ce qu’elle est aujourd’hui sans Marcel-François Richard, a affirmé Aldéo Richard. Il a fait énormément de chemin. C’était un fonceur et il a créé beaucoup de choses.»

Plaque commémorative en hommage

aux descendants de Michel et François venus s’établir à St-Grégoire

Jeannine Richard, présidente de l’Association des Familles Richard du Québec, a organisée, au Vieux moulin de Bécancour, secteur Saint-Grégoire, le dévoilement de la «plaque des Richard». L’objectif était de souligner la forte présence de leurs descendants.

Pour l’occasion, trois présidents d’honneur ont été invités, soit le maire de Victoriaville, Roger Richard, son homologue de Louiseville, Guy Richard et le maire de Bécancour, Maurice Richard.

Joseph à Martin, à Martin, à Michel premier à s’établir, vient de Beaubassin.

On le retrouve à l’automne 1758 à Bécancour avec d’autres réfugiés. Ceux-ci avaient choisi l’exil volontaire au lieu de la déportation forcée. Ils ont fui par les bois et cherchèrent asile au Canada.

Joseph est marié à Françoise Cormier. Sa famille et celles de ses enfants ont eu à souffrir des attaques anglaises de 1704, 1707, 1710 et de la peste en 1703.

On peut imaginer que plusieurs de leurs descendants se retrouvent chassés de l’Acadie en 1755.

Quand à François, il est venu s’implanter à Port-Royal vers 1710.

Il est originaire d’Auray en Bretagne. Soldat à l’origine venu défendre l’Acadie contre les anglais, il traqua l’épée pour la hache du défricheur. Ce sont les enfants de François qui vécurent la déportation.

Joseph à Grégoire, à François s’est établi à St-Grégoire à un endroit nommé Le Portage entre le rang du Lac-St-Paul et celui du village de Godfroy. Celui-ci fut marié à Marguerite Da-rois (5) et Madeleine Richard (10).

Pierre, fils de Grégoire, est l’ancêtre des Richard Pleau de Ste-Angèle-de-Laval.

Plaque commémorative, 30 août 2009